Chaque fois que c'est
arrivé, j'ai été étonnée de constater que quelqu'un me/se questionne,
ayant eu la pensée que nos enfants étaient enfermés ou éloignés de la
vraie vie et du monde alors que j'étais - ou nous étions - avec eux, en
pleine découverte au Parc ou au cinéma ou au Musée ou en rando dans la
forêt.
Cela dit, j'ai ensuite compris d'où ça vient : la scolarisation
obligatoire entretient la pensée qu'elle est essentielle et parce
qu'obligatoire, l'humain, pour ne pas être isolé, tend toujours à
s'habituer, se faire une raison et oublier, au moins temporairement,
pourquoi il fait ce qu'on lui a dit être obligatoire.
Mais, face à cette
idée, après avoir été étonnée, j'ai observé, avec nos enfants, et on a
vu que c'était probablement la connexion synaptique qui venait de
se (re?)faire. Et ça, c'est plutôt chouette, de voir que les gens se questionnent. Et que les neurones font toujours leur travail.
Bien sûr, c'est plus intéressant si l'autre questionne avec la
curiosité naturelle de l'enfant humain qui apprend toujours, que s'il a
peur et qu'il utilise la suspicion et l'interrogatoire. (Avec certains,
on peut se sentir comme avec un douanier parfois, qui nous cherche
quelque chose 'à déclarer'.) Après, nous - comme nos enfants -
sentons la différence, et pouvons répondre au premier, et laisser aller
le second dans son émotion. S'il la vit vraiment, il
pourra revenir à la curiosité naturelle et l'ouverture d'esprit naturel
de l'enfant, de l'humain. Ce qui est génial, je trouve.
Mais, face à cette idée, après avoir été étonnée, j'ai observé, avec nos enfants, et on a vu que c'était probablement la connexion synaptique qui venait de se (re?)faire. Et ça, c'est plutôt chouette, de voir que les gens se questionnent. Et que les neurones font toujours leur travail.
Bien sûr, c'est plus intéressant si l'autre questionne avec la curiosité naturelle de l'enfant humain qui apprend toujours, que s'il a peur et qu'il utilise la suspicion et l'interrogatoire. (Avec certains, on peut se sentir comme avec un douanier parfois, qui nous cherche quelque chose 'à déclarer'.) Après, nous - comme nos enfants - sentons la différence, et pouvons répondre au premier, et laisser aller le second dans son émotion. S'il la vit vraiment, il pourra revenir à la curiosité naturelle et l'ouverture d'esprit naturel de l'enfant, de l'humain. Ce qui est génial, je trouve.
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