jeudi 29 août 2013

a NEW song by Paul McCartney

NEW, la nouvelle chanson de Sir Paul,
d'un album à paraître le 15 octobre prochain. 
Je le dis comme ça, juste au cas... où quelqu'un ait tellement envie de me faire un cadeau, sans trop savoir quoi... ! ;-)




"we can do what we want
we can live as we choose
You see there's no guarantee
we've got nothing to lose"
~Paul McCartney

***

Vais-je répéter comme j'aime Paul McCartney ? 
Ou demander à Jérôme, à mes côtés, ce qu'il en pense... ?
Jérôme: «Cool ! Ça fait assez unschooler, mettons !»
:-)

Ah et puis, je ne peux pas m'en empêcher, j'aime Paul McCartney ! J'aime sa voix, sa musique, ses chansons; j'aime Paul McCartney!


Édith

Ajout, le 13 septembre 2013, paroles trouvées ici:

Don't look me at me
It's way too soon to see
What's gonna be
Don't look at me
All my life
I never knew
What I could be
What I could do
Then we were new

You came along and made
My life a song
One lucky day
You came along
Just in time
When I was searching for a rhyme
You came along
Then we were new

We can do what we want
We can live as we choose
You see there's no guarantee
We've got nothing to lose

Don't look at me
I can't deny the truth
Just wait to see
Don't look at me
All my life
I never knew
What I could be
What I could do
Then we were new

We can do what we want
We can live as we choose
You see there's no guarantee
We've got nothing to lose

Don't look me at me
It's way too soon to see
What's gonna be
Don't look at me
All my life
I never knew
What I could be
What I could do
Then we were new
Then we were new
Now we are new 

dimanche 25 août 2013

André Stern - Le bonheur

Pour qui aura manqué son passage au Québec en mai, voici le bonheur, tout simple, par André Stern:



On vient au monde avec ces trois grands désirs: le désir d'attachement, le désir d'autonomie, et le désir d'apprentissage.

Si l'enfant, lorsqu'il n'est pas interrompu, joue, alors pourquoi interrompre cette disposition spontanée que nous avons tous ? 

Le bonheur, c'est de rester le plus près possible de nos dispositions spontanées, surtout ne pas l'interrompre. 

Aurait-on tous les mêmes peurs, parce qu'on vient tous du même moule ?

Se poser des questions, est un bon début... observer, écouter nos enfants, se rappeler sa propre enfance, aussi. :-)

Moi, ce sont mes enfants, Olivier d'abord, Jérôme plus tard, qui m'ont montré tout ça. Et quand nous avons rencontré André Stern, pour une première fois, par un extrait vidéo d'une conférence (c'est ici), j'ai noté ceci:

Chaque fois qu'il parle, qu'il répond à une question, nous entendons en écho les voix de nos fils, les mêmes réponses qu'ils ont données si souvent à tous ces parents qui cherchent.

Soyez heureux !

Édith