« Il n'y a pas de moment difficile qui annule le bonheur des moments précédents, n'est-ce pas? »
Extrait
d'une discussion sur Unschooling en français, il y a quelques heures, à
propos des moments difficiles.
Ci-dessous, un plus long extrait de ce que j'y partageais, que j'ai très légèrement modifié pour enlever le style plus personnel de la discussion.
« Les défis, ah oui ! font partie de la vie. On en vit tous, parfois plus à certains moments et moins à d'autres. Si on a l'impression de 'retomber à zéro', c'est peut-être qu'on est fatigué ou malade en ce moment. On peut alors voir à tout ce qui peut augmenter notre énergie (manger plus souvent, bien s'hydrater, dormir plus, faire des siestes (même sans dormir), etc.) et à diminuer les dépenses d'énergie, mettre de côté tout ce qui n'est pas urgent.
Inutile d'entretenir l'idée qu'un moment difficile pourrait faire basculer l'équilibre ou le bien-être de tous, car elle est peut-être (probablement) fausse. Fausse, dans le sens de 'faussée', 'biaisée' parce qu'on a eu de mauvaises nouvelles, par exemple.Ce qui peut aider est plutôt de rester connecté avec les siens; faire les choses qu'on aime faire ensemble : regarder des films, se coller en lisant ou en écoutant un concert, tout ce qui nous fait du bien.
Des moments difficiles ne vont pas détruire ce qu'on a bâti auparavant. Je ne vois pas les choses comme ça. Sandra Dodd parle souvent de vivre un moment à la fois. Ça marche.
Il n'y a pas de moment difficile qui annule le bonheur des moments précédents, n'est-ce pas? Si un moment n'est pas heureux, joyeux, léger, on peut faire/vivre un moment différent l'instant d'après. Le quotidien est la somme de centaines d'instants à chaque jour. » ~ Édith.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires sont bienvenus.
(Note: tout commentaire irrespectueux sera supprimé.)